Le Président du Consistoire Central et le Grand Rabbin Bruno Fiszon ont été reçus par le Ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, lundi 4 novembre, pour évoquer la situation de la Chehita en France et en Europe.

Le 3 novembre, le Grand Rabbin de Paris, Michel Gugenheim a pris part à la l'inauguration d'un Sefer Thora à la synagogue de la rue Sthrau (Paris 13e) en présence du Président et de nombreux administrateurs du Consistoire, du Rabbin de la synagogue, Monsieur Melka et du Président de la communauté, Patrick Belliti.

Le 7 novembre a eu lieu la cérémonie de commémoration de l'Armistice de la Première Guerre Mondiale - à la mémoire des morts pour la France - en partenariat ave le comité du souvenir des manifestations nationales en mémoire des morts pour la France, en présence de représentants de la République et des autorités civiles et militaires.

Après les mots de bienvenue du Président de la communauté de Chasseloup-Laubat, Claude Haddad, le Rabbin et Aumônier Joël Jonas a pris brièvement la parole au nom du Grand Rabbin 'Haïm Korsia, Aumônier Général des Armées, avant la lecture de la prière pour les morts, El Maale Rakhamim par le 'Hazan de la synagogue, Monsieur Bouhadana et la prière pour la République par le Rabbin Mikael Journo.

Accompagné du Rabbin Elkiess, le Grand Rabbin Gugenheim s’est rendu, le 4 novembre dernier, au Moulin des Osmeaux pour vérifier la conformité halakhique des infrastructures avant de procéder au lancement de la fabrication de la farine de Pessa’h.

Bonheur et émotion étaient visibles dans les yeux des enfants des écoles juives de l'Alliance (Pavillons sous Bois), Lucien de Hirsch (Paris 19e), Maïmonide (Boulogne) et Rachi (Paris 17e) qui participaient au ravivage de la flamme du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe, le 5 novembre dernier.

Le Grand Rabbin Gugenheim s’est rendu au Dîner de Gala organisé par la communauté de Boulogne qui célébrait la pose de la première pierre de son nouveau centre de vie juive, en présence du Président du Consistoire.
Le Grand Rabbin a pris la parole pour rappeler l’actualité de la semaine. Celle-ci se prêtait particulièrement bien à cet événement. Il y est en effet question du devoir de Maasser et de l’importance de la récompense promise à ceux qui font la Tsédaka.

Dans les quartiers, le dialogue interreligieux se démocratise. Il n’est plus le monopole de spécialistes ou le privilège d’initiés. Les rencontres sont ouvertes à tous et chacun, croyant ou sans religion, est invité à y prendre la parole. Aux confrontations théologiques du passé, se substituent des préoccupations sociales : mieux se connaître, vivre ensemble de manière fraternelle, lutter contre l’isolement, la solitude et l’individualisme…