16 mai 2014 - 16 Iyar 5774
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Chabbat Be'houkotai

Retrouvez la paracha de la semaine en français et en hébreu sur

 
 
 

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Entrée
21.09
21.12
20.46
20.48
20.32
20.38
20.45
20.55
21.07
Sortie
22.28
22.35
22.04
22.01
21.42
21.48
21.56
22.05
22.19
 
     
 
 

 
 

Suivant les sources rabbiniques, le 33e jour de l’Omer (Lag = 33) l’épidémie mortelle qui a tué 24000 élèves de Rabbi Akiva s’est arrêtée. En fait, il s’agirait plutôt d’une allusion à la révolte de Bar Kochba contre les Romains en 135 qui s’est terminée par un bain de sang et l’abandon d’un rêve d’autonomie politique. Rabbi Akiva, qui avait soutenu de son autorité morale la rébellion contre les occupants romains, a trouvé la mort avec nombre de ses disciples.

Depuis, la tradition a fixé que les trente-trois premiers jours de l’Omer seraient des jours de deuil où il est interdit de se marier, de se couper les cheveux, de se raser la barbe, d'écouter de la musique, etc. Le 33e jour du Omer où "l’épidémie s’est arrêtée" est devenu un jour où l’on peut à nouveau se réjouir.

Une seconde tradition liée à Rabbi Shimon Bar Yohaï, disciple de Rabbi Akiva, viendra se greffer sur la première et la supplanter. Le 33e jour du Omer est devenu, à partir du 16e siècle, lorsque des juifs expulsés d’Espagne rejoignent la Terre d’Israël et s’installent en Galilée, le jour anniversaire de la mort de Shimon Bar Yohaï.

La tradition l’appelle la Hilloula de Rabbi Shimon Bar Yohaï. Le terme de Hilloula n’est attribué qu’aux grands maîtres qui sont vénérés comme des saints. Shimon Bar Yohaï est considéré comme l’auteur du livre du Zohar (livre de la Splendeur), ouvrage fondamental de la Kabbale que certains cercles religieux considèrent comme un livre saint au même rang que la Bible et le Talmud. Ecrit en araméen, le livre fut en fait rédigé au 13e siècle par Moise de Léon qui, pour lui conférer une autorité, l’a attribué au grand maître du 2ème siècle. Le livre connut un succès fulgurant et le mouvement cabbalistique prit de l’ampleur. L’ouvrage s’ouvre par le récit de la mort de Shimon Bar Yohaï (le 33e jour de l’Omer) qui réunit ses disciples autour de lui et leur révèle les secrets de la Torah. Ces secrets sont contenus dans le livre du Zohar.

La première mention de la Hilloula de Rabbi Shimon Bar Yohaï se trouve dans le livre Shaar haKavanot attribué à Rabbi Isaac Louria, de la fin du 16e siècle. Ce n’est qu’au 18e siècle que le 33e jour du Omer devient une fête de plus en plus marquée par certains courants religieux. Les traditions se multiplient et se transportent dans les communautés juives du monde entier y compris les communautés d’Afrique du Nord qui vont particulièrement célèbrer ce jour.

La coutume la plus répandue est d’allumer des feux de joie pour rappeler que Shimon Bar Yohaï a transmis les secrets de la Torah qui est un feu qui brûle et réjouit. Elle est une lumière dans la nuit. On se rend en pèlerinage sur la tombe de Rabbi Shimon Bar Yohaï, située à Méron, petite bourgade de Galilée, à 15 km environ au nord-ouest du lac de Tibériade et à quelques kilomètres seulement de la ville de Safed, haut-lieu de la Kabbale.

Les festivités commencent la veille à midi. Des milliers de fidèles vont chercher un rouleau de la Torah datant de l’expulsion d’Espagne et qui se trouve dans la synagogue d’Abouhav dans la veille ville de Safed. De là, ils processionnent jusqu’à Méron. Le soir, à l’apparition des étoiles, des centaines de feu sont allumés et les hassidim dansent en farandole jusqu’à l’aurore.

A partir de minuit et la journée du lendemain, on coupe pour la première fois les cheveux des garçons qui ont atteint l’âge de 3 ans.

Après avoir abattu rituellement un animal, les fidèles ont pour habitude de manger et de boire le plus près possible de la tombe et de lui faire des prières et des demandes. Certaines coutumes se mélangent à des pratiques plus ou moins superstitieuses que certains rabbins ne voient pas toujours d’un très bon œil.

Rabbi Shimon Bar Yohaï

Rabbi Shimon Bar Yohaï est l’un des hommes les plus remarquables qui aient jamais vécu, et il y en a très peu à qui les contemporains aussi bien que la postérité aient accordé autant de considération.

Dans Yérouchalmi on relève que Rabbi Akiva refusa de recevoir Rabbi Shimon parmi ses disciples, et qu’il ne l’a fait qu’après lui avoir fait passer un examen. Son père Yohaï était du coté de Romains pendant l’époque terrible des persécutions d’Adrien. C’est probablement la raison pour laquelle Rabbi Akiva refusa de prendre le jeune Rabbi Shimon parmi ses disciples. Mais celui-ci réussit tout de même à s’imposer, et fut, avec ses compagnons Rabbi José, Rabbi Meïr, Rabbi Yéhouda et Rabbi Néhemya, l’un des piliers de la Torah.

Contrairement à son père, Rabbi Shimon fut poursuivi par les Romains et condamné à mort, si bien qu’il dut se cacher, avec son fils Rabbi Eléazar, dans une caverne pendant treize ans et où il étudia la Torah.

Après la mort de l'empereur romain, les Sages envoyèrent une délégation à Rome et choisirent Rabbi Chimon bar Yo'hai pour la conduire. En arrivant à Rome, ils apprirent que la fille de l'Empereur romain était atteinte d'une grave maladie et que personne ne pouvait la guérir. Après quelques jours de traitement, la princesse fut guérie par Rabbi Chimon bar Yo'hai. L'Empereur désirant se montrer reconnaissant, lui proposa de choisir la chose la plus précieuse du trésor romain. Rabbi Chimon y trouva les décrets relatifs aux persécutions ordonnées contre les Juifs. Il les demanda en récompense de ses services. C'est ainsi qu'il réussit à écarter le danger qui planait sur les Juifs à cette époque.

Rabbi Chimon bar Yo'haï mourut à Mérone, un petit village près de Safed, en Israël. Nombreux sont ceux qui se rendent chaque année à Lag Baomer (le 18 Iyar), anniversaire de sa mort, en pèlerinage sur son tombeau, où ils allument des bougies et récitent des prières.

 
     
 
 
 
*ACTUALITE CONSISTORIALE
     
 

Pour une médiation sereine au service des couples

 
     
 

Les instances démocratiques de notre institution (le Conseil du Consistoire de Paris, le Conseil du Consistoire Central, le Conseil des présidents de communautés, le Corps rabbinique) ont été saisies et informées en toute transparence sur une affaire d’ordre privé qui concerne un divorce religieux particulièrement conflictuel.

Le Beth Din de Paris intervient après les décisions de justice qui règlent le divorce civil (en Israël où le mariage et le divorce civils n’existent pas, le Beth Din dispose de toutes les compétences).

Son objectif premier est de permettre une médiation entre les ex-époux en situation difficile, pour que l’homme accepte de délivrer le guett et que la femme accepte de le recevoir.

En aucun cas, le Beth Din n’intervient en amont dans les négociations privées établies entre ex-époux. Il constate la présence d’un accord mutuel permettant la remise du guett.

La situation particulièrement tragique des ex-épouses dans l’incapacité de refaire leur vie -parce que leur ex-mari refuse de divorcer religieusement-  est l’objet d’une attention et d’un travail constants des rabbins du Beth Din de Paris qui a créé un accompagnement spécialisé (avocats et psychologues hommes et femmes) pour les femmes placées dans cette difficile condition.

Soucieux de faire respecter les droits des femmes à refaire leur vie religieuse et dans les rares cas extrêmes où le guett est instrumentalisé comme moyen de pression du mari sur son ex-femme, le Beth Din guide une procédure particulière qui permet aux femmes subissant un abus de droit de leur ex-mari de rétablir, devant la justice civile le principe d’égalité bafoué par l’ex-époux.

L’an dernier le Beth Din de Paris a prononcé plus de 400 divorces, parmi lesquels une vingtaine de cas ont présenté des difficultés, nécessitant des convocations par courriers recommandés. 16 ont été adressées aux ex-femmes et 12 aux ex-maris.

Au total pour 2013, trois cas ont fait l’objet d’un certificat de carence permettant aux femmes de poursuivre en justice pour le préjudice occasionné par leur ex-mari.

11 couples sur un total de près de 5000 divorces religieux, en 10 ans, ne sont actuellement pas encore parvenus à se mettre d’accord pour l’obtention du  guett qui les délivrera de leur mariage religieux.

En aucun cas, à l’instar de tous les médiateurs civils ou professionnels, le rôle de médiation des rabbins du Beth Din ne doit servir d’instrument pour peser sur des accords privés dont ils ne peuvent être que les témoins et les facilitateurs pour  mettre fin à une situation difficile.

Nos synagogues sont le reflet d’un Judaïsme ouvert tel qu’il se pratique dans toutes nos communautés qui accueillent indifféremment tous les Juifs quel que soit leur degré de pratique. Cette pluralité de convictions est au cœur de la Loi juive -la Halakha - transmise, appliquée et préservée universellement dans le monde juif reconnu par tous les Rabbinats et notamment celui d’Israël.

Qu’il s’agisse de cacherout, de circoncision, de mariage, de conversion ou de divorce par exemple, les décisions du Beth Din de Paris -qui n’engagent que le statut personnel religieux des juifs qui y ont librement recours-, sont reconnues par tous les Beth Din du monde, fidèles à la Halakha. Compte-tenu des déplacements et alliances matrimoniales, il est primordial que les actes religieux continuent d’être reconnus à l’avenir.

Dans le contexte actuel de crispation et de défiance vis à vis des religions et de focalisation exacerbées autour des Juifs et du Judaïsme, notre institution fait l’objet d’une surexposition médiatique injuste et injustifiée.

 
    Joël MERGUI
Président du Consistoire
 
       
 
    Elus et rabbins soutiennent le Grand Rabbin de Paris, Michel Gugenheim et le Beth Din de Paris  
 

Le 12 mai, les Rabbins d'Ile-de-France réunis pour un moment d'étude, ont fait part de leur soutien au Grand Rabbin de Paris, Michel Gugenheim.
Le lendemain, le Grand Rabbin s'est exprimé devant les responsables consistoriaux nationaux, à l'occasion du Conseil du Consistoire Central.

 
    Lire la suite  
 
    Interviews du Grand Rabbin Gugenheim  
 

Sur Hamodia (paru dans le No 311 du Jeudi 15 Mai 2014 : http://www.hamodia.fr/

Sur Actualité Juive : "Je suis opposé au versement d'argent pour obtenir un guet" (Télécharger le pdf)

 
    Interview du Président Joël Mergui  
  Sur Actualité Juive : "Des suites judiciaires à donner à cette affaire" (Télécharger le pdf)  
 
   

Audition des candidats au Grand Rabbinat de France par le Conseil du Consistoire Central

 
 

Le 13 mai dernier, le Conseil du Consistoire Central a auditionné les candidats au poste de Grand Rabbin de France. Tous se sont pliés à l’exercice, à l’exception du Rabbin Elie Elkiess, excusé. L’élection du Grand Rabbin de France aura lieu le 22 juin prochain.
Voici leurs noms par ordre alphabétique :

 
   
Raphaël Banon
Laurent Berros
Elie Elkiess
Bruno Fiszon
Olivier Kaufmann
Haïm Korsia
Yoni Krief
Meyer Malka
Alain Senior
David Shoushana
 
       
 
    Rencontre avec le Ministre israélien des Transports  
 

 

 

Joël Mergui a rencontré cette semaine le Ministre israélien des Transports, Israël Katz, en présence d’Ariel Goldmann, Président du FSJU, et de Francis Kalifat, Vice-président du Crif.
Ceux-ci sont intervenus pour que le prix des billets d’avion pour Israël diminue, afin de permettre à un plus grand nombre de touristes français de voyager en Israël. Dans le cadre de l’opération « Ciel Ouvert », le gouvernement israélien, conscient de ce problème récurrent de prix trop élevés, a ouvert les aéroports aux compagnies aériennes low cost. M. Katz a précisé qu’Israël attendait désormais l’autorisation du gouvernement français pour permettre à ces compagnies d’atterrir dans les aéroports français.

 
       
*VIE COMMUNAUTAIRE
    Manuel Valls à la cérémonie de l'indépendance de l'Etat d'Israël au Pavillon Dauphine  
 

Le 13 mai, avait lieu la célébration officielle du 66e anniversaire de l’indépendance de l’Etat d’Israël, par l’Ambassade d’Israël en France en présence du Premier Ministre, Manuel Valls et de nombreuses personnalités, parmi lesquelles le Président du Consistoire, Joël Mergui et le Grand Rabbin Olivier Kaufmann, Directeur du SIF et chargé de l’intérim du Grand Rabbinat de France.

 
  © Erez Lichtfeld Lire l'article du Figaro  
*JEUNESSE
    Chabbat plein inter-générationnel à Anet  
 

Tikvatenou, le mouvement de jeunesse du Consistoire, a organisé entre le 9 et le 11 mai un grand chabat qui a regroupé plus de 110 personnes à Anet, une petite commune proche de Paris. Pas moins de trois générations d'anciens de Tikvatenou ont côtoyé pendant trois jours la nouvelle génération de séminaristes destinés à devenir d'ici quelques mois les nouveaux animateurs du mouvement.  
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*CULTURE
    Cinéma : Kidon, d'Emmanuel Naccache  
 

18 février 2010. Le monde entier découvre à la une de tous les journaux les photos d’agents du Mossad israéliens pris en flagrant délit d’assassinat de Mahmoud al-Mabhouh, un responsable du Hamas palestinien, un mois plus tôt à Dubaï. Contre toute attente, ce sont les dirigeants du Mossad qui sont les plus surpris par cette révélation, sachant avec certitude que les responsables de l’opération ne font pas partie de leurs rangs.  
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    Livre "Souffler sur les braises pour que revivent les ombres" de Claude Bochurberg (Ed. A.J. Presse)  
 

"C'est en plein cœur du mois d'août 2012, pris par un incoercibles impératif de mettre un peu d'ordre dans des monceaux de papier ; que j'ai redécouvert le dossier consacré aux Yamniak, un dossier composé par ma tante Becky, disparue il y a quelques années… "
C'est ainsi que commence le récit de la quête menée par l'auteur sur les traces de son oncle, de sa tante et de leur fils âgé de 7 ans, ainsi que sur celle de son père, assassiné dans les Pays Baltes. Une tragédie dont les affres s'immiscèrent chez tous les membres de la famille survivante…
 
       
*ISRAEL
    6e Festival des lumières de Jérusalem  
 

Du 11 au 19 juin, la ville sainte se pare de lumières inédites. A la nuit tombée, ses monuments semblent prendre une nouvelle vie sous le faisceau des lumières et couleurs qui soulignent leur relief de manière insolite. Cette féérie est renforcée par la musique, les spectacles de danse et autre performances artistiques que l'on découvre tout au long du parcours nocturne. Parmi les surprises de cette année, les visiteurs pourront apprécier des installations en 3D, des projections vidéo et un spectacle sons et lumières innovant.

 
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    La Traviata à Massada  
 

Depuis trois ans, l'Opéra d'Israël se produit dans le décor grandiose de Massada. En 2010, il y a eu Nabucco, Aïda en 2011, Carmen en 2012.
Du 12 au 17 juin 2014, ce sera La Traviata sous la direction de Daniel Oren.
 
       
 
    L'israélienne SoftWheel réinvente la roue !  
 

Voici une roue un peu particulière. Elle absorbe les chocs et c'est tout l'intérieur de la roue qui joue le rôle d'amortisseur. Cette roue réinventée s'appelle Acrobat et elle a été inventée par une start-up israélienne SoftWheel représentée par Dror Cohen : "Je vais là où je veux aller et si je veux descendre d'un trottoir pour traverser la route alors je le fais et c'est une toute nouvelle sensation." Tout se passe entre le moyeu de la roue et les rayons qui sont d'ailleurs ici plutôt des bâtons.  
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    Festival Tempo Jazz à Vincennes – un coup de projecteur sur la scène du jazz israélien !  
 

Cette année, Festival Tempo Jazz à Vincennes, a choisi de donner un coup de projecteur sur la vitalité de la scène du jazz israélien, en accueillant trois artistes emblématiques : le magnifique saxophoniste Eli Degibri (le samedi 17 mai), l'éblouissant pianiste Yaron Herman (le dimanche 18 mai) qui se produira à l'Auditorium Jean-Pierre Miquel à Coeur de ville, et Le clarinettiste Oran Etkin avec Timbalooloo, un spectacle dédié au jeune public (le samedi 17 mai).  
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*CARNET
    Décès  
 

Jacques Behar s'est éteint samedi. Il a été l'un des plus jeunes internés du camp de Drancy. Profitant de la confusion qui y régnait il réussit à s'échapper. Il resta caché jusqu'à la fin de la guerre. Il fut l'un des fondateurs de la synagogue "Don Isaac Abravanel", qui fut inaugurée le 2 avril 1962 par le Grand Rabbin Jacob Kaplan et M. Alain de Rothschild. La synagogue est construite sur un terrain, 84 rue de La Roquette Paris 11ème, acquis par le communauté Sefardi en 1926. Il y a été administrateur pendant quarante ans; il était le dernier fondateur vivant. Que son âme repose en paix.

 
       
  C'est avec une grande tristesse que nous apprenons la disparition de Madame Paulette Bader, épouse de Monsieur J.P. Bader (zal) qui a été  une figure éminente de la Résistance et du scoutisme juif. Il a dirigé, pendant une soixantaine d'années, la section locale des EI.
 
*AGENDA
 

19/05

Nancy : Inauguration de l'exposition Hélène Berr

 
 

20/05

Région Rhône-Alpes : Croisière du Club des séniors

 
 

21/05

La Roquette : Conférence du Grand Rabbin Daniel Dahan

 
 

22/05

6e et Rive Gauche : Conférence du Dr Ariel Toledano

 
 

25/05

Toulouse : Grande Journée de la Jeunesse et des Ecoles

 
 

29/05

Bas-Rhin - Espace Noah : Grand concert de la jeunesse

 
 

Jusqu'au 23/08

Colmar : Exposition sur Yossel de Rosheim

 
     
 


Lag Baomer 5774

18 mai 2014

 
       
  Paris - Ile de France  
  6e et Rive Gauche  
  Acip 13 - Avoth Ouvanim  
  Athis-Mons  
  Berith Chalom  
  Buffault  
  Champigny  
  Créteil  
  Epinay - Beth Chalom  
  La Roquette
   
     
  Province  
  Bordeaux  
  Clermont - Ferrand  
  Grenoble  
 
 
 
 

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